195 entreprises financées. 7378 emplois assurés. 2306 jeunes contractés pour des stages professionnels. 51 entrepreneurs de la diaspora financés pour la création ou la consolidation de leur entreprise.
Ce ne sont là que quelques-uns des résultats du PASPED, le projet de lutte contre la migration illégale à travers l’appui au secteur privé et à la création d'emplois au Sénégal, financé par l'Union européenne et mis en œuvre par l'Agence Italienne pour la Coopération au Développement (AICS) en co-délégation avec Cassa Depositi e Prestiti (CDP) et en collaboration avec le ministère de la Microfinance et de l'Économie sociale et solidaire du Sénégal.
Un projet réussi non seulement pour ses résultats mais surtout pour son côté humain fait d'histoires professionnelles remarquables.
Ces histoires seront les protagonistes de la cérémonie de clôture du projet demain, lundi 23 janvier à Dakar.
Un événement qui se déroulera tout au long de la journée à travers différents panels techniques sur le projet : de l'assistance financière aux entreprises, à l'assistance technique, à la valorisation de la contribution de la diaspora sénégalaise en Italie au développement socio-économique du pays d'origine. De nombreux témoignages de jeunes formés et entrés dans le monde du travail, d'entrepreneurs, hommes et femmes, soutenus par le Pasped, sont prévues.
Emploi et opportunités : deux mots clés pour le développement et les principaux outils pour lutter contre la migration irrégulière. Pasped a garanti une réponse concrète à ces deux points grâce à une approche de véritable coopération, de co-création et d'action conjointe.
L'événement se déroulera en présence de l'Ambassadeur d'Italie à Dakar, de l'Ambassadeur de l'Union européenne au Sénégal et de la Ministre de la Microfinance et de l'Économie Sociale et Solidaire du Sénégal.
Suivez la couverture en direct de l'événement en cliquant sur le lien ci-dessous : https://bit.ly/3D5miJU
Pour plus d'informations sur le projet, veuillez trouver une brochure d'information jointe à cet article.
Par Chiara Barison